Une soirée de réflexion sur les manières d’accompagner, de pallier aux risques des prises de paroles publiques et de soutenir les femmes judiciarisées pour qu’elle se fassent entendre !
𝗤𝘂𝗶 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗷𝘂𝗱𝗶𝗰𝗶𝗮𝗿𝗶𝘀é𝗲𝘀 ?
Ce sont des personnes ayant été prises en charge par le système de justice pénale, allant de l’arrestation, aux conditions de mise en liberté et de probation, à la peine de prison. Elles sont aussi comprises comme étant des femmes ayant été judiciarisées dans leur parcours de vie notamment lors d’une expérience avec la protection de la jeunesse. Les témoignages publics sont ancrés dans différents contextes et espaces politiques (les médias, la radio, les commissions d’enquête, etc.) et modulés par des conditions spécifiques de production.
Cultures du témoignage souhaite reconnaître que l’atelier s’est déroulé sur des terres autochtones non cédées. Le territoire qu’occupe Tiohtiá:ke/Montréal est reconnu en tant que lieu de rassemblement pour de nombreuses Premières Nations. Aujourd’hui, ce territoire accueille une population diversifiée de peuples autochtones et d’autres peuples.
Nous reconnaissons que la Nation Kanien’kehá:ka est la gardienne des terres et des eaux sur lesquelles nous nous réunissons aujourd’hui. Nous nous rassemblons afin de tisser de nouveaux liens et de bâtir des communautés fortes; nous souhaitons respecter le lien ininterrompu avec le passé, le présent et le futur dans le cadre de notre relation continue avec les peuples autochtones et les autres peuples de la communauté montréalaise.
Cultures du témoignage tient également à reconnaître la solidarité qui existe entre la résistance des personnes Autochtones et les luttes de libération des personnes Noir.e.s, et que d’entreprendre un processus de décolonisation implique également le soutien de la vie et de la libération des personnes Noir.e.s.